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STEFAN KÜNG SUR LE TOIT DE L'EUROPE, LES FRANÇAIS SUR LE TOIT DU MONDE
Lorsque Stefan Küng était devenu, en août 2020, champion d'Europe du contre-la-montre, il avait réalisé une performance déjà exceptionnelle. Mais conserver son titre, le 9 septembre dernier, à Trente, a été un exploit encore plus retentissant, surtout en devançant des spécialistes référencés comme Filippo Ganna, Remco Evenepoel et Stefan Bissegger. C'est ainsi que le Suisse compte désormais deux sacres continentaux consécutifs à son palmarès et portera le maillot étoilé douze mois de plus, lors de chaque rendez-vous chronométré du calendrier. Dix jours après son succès en Italie, Stefan Küng terminait cinquième du contre-la-montre des Championnats du Monde, dans les Flandres, et quatrième dans l'exercice du relais mixte, à quelques centièmes de la médaille de bronze. Sur le toit de l'Europe, il entend réussir, dans les années à venir, à convertir le bleu européen en arc-en-ciel mondial, et toute l'Équipe cycliste Groupama-FDJ est déterminée à l'aider à atteindre ce but ultime.
Aux Championnats du Monde, une grande émotion a également été vécue par Valentin Madouas et Arnaud Démare. Membres d'un collectif redoutable de l'équipe de France, les deux coureurs de l'Équipe cycliste Groupama-FDJ ont participé à la conquête de la médaille d'or de Julian Alaphilippe, qui a accompli la performance rare de conserver un titre de champion du monde. Valentin Madouas, décisif dans le dernier tour de circuit pour assister son leader, est sorti de ce championnat avec des étoiles plein les yeux et des ambitions renforcées pour l'avenir : "J'espère pouvoir continuer à progresser pour être meilleur encore et un jour, pourquoi pas, revêtir moi-même ce magnifique maillot."
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UNE MONTÉE EN PUISSANCE VERS LES DERNIERS OBJECTIFS DE L'ANNÉE
Il est de tradition, avant de courir le Tour de Lombardie, dernier monument de la saison, de se préparer sur les semi-classiques italiennes automnales. C'est ainsi que les coureurs de l'Équipe cycliste Groupama-FDJ ont pu monter en puissance, ces derniers jours, sur ces courses relevées. Le 4 octobre sur la Coppa Bernocchi, disputée sur une pluie diluvienne, Thibaut Pinot a flairé le bon coup et signé une cinquième place situant sa condition physique du moment. Le lendemain, sur les Trois Vallées Varésines, David Gaudu a pris la huitième place, au sein du groupe des principaux favoris, et le surlendemain, il s'est classé sixième de Milan-Turin, au terme de l'ascension difficile de la colline de Superga. Dans le match, les deux grimpeurs ont peaufiné leur forme à l'approche du principal objectif de leur fin de saison. David Gaudu arrivait en Italie avec des certitudes : lors de sa précédente course, le Tour du Luxembourg du 14 au 18 septembre, il avait remporté la dernière étape dans la capitale du Grand-Duché et terminé sixième du général, assisté notamment d'un Thibaut Pinot dévoué.
Sur le sol français, Valentin Madouas a frôlé la victoire sur la Classic Loire-Atlantique le 2 octobre, seulement devancé au sprint par un autre Breton, Alan Riou, et finissant deux rangs devant son coéquipier Miles Scotson, quatrième. Une performance solide avant qu'un autre rendez-vous majeur de la fin de saison n'approche : Paris-Tours (10 octobre).
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LA CONTI : LEWIS ASKEY SUR TOUS LES FRONTS
Il termine la saison en boulet de canon ! Lewis Askey multiplie les performances depuis le début de l'automne. Le 19 septembre, le Britannique gagnait, sur ses terres, le cyclocross UCI de Derby, dans une discipline qu'il pratique chaque hiver. "Je suis dans la forme de ma vie", déclarait-il après son succès. Démonstration de celle-ci cinq jours plus tard sur la course en ligne des Championnats du Monde espoirs : leader de sa sélection nationale, il attaquait à plusieurs reprises sur un parcours tortueux tracé dans les Flandres, sans parvenir à accompagner le futur lauréat Filippo Baroncini, mais en conservant, au courage, les forces lui permettant de prendre la cinquième place sur la ligne au sein du sprint du peloton. Pas fatigué, Lewis Askey s'alignait deux jours après sur une épreuve VTT... en Espagne. Puis le 29, il s'alignait avec ses coéquipiers de La Conti sur la Ronde de l'Isard, l'une des courses U23 les plus montagneuses du calendrier. Sur la deuxième étape, il plaçait une attaque féroce à la flamme rouge pour aller s'imposer en solitaire à Lannemezan. Mais sa débauche d'énergie ne s'arrêtera pas là : le lendemain et le surlendemain, il est membre de l'échappée du jour, sur un tracé de haute-montagne. Lewis Askey pourra poursuivre sa progression l'année prochaine dans l'équipe WorldTour, qui se réjouit de pouvoir compter sur sa remarquable polyvalence.
D'autres coureurs de la Conti ont brillé ces derniers jours, y compris sur cette même Ronde de l'Isard : Reuben Thompson, déjà lauréat en juillet du Tour du Val d'Aoste, s'est distingué en terminant cinquième du général final de l'épreuve ariégeoise. Lui aussi a déjà son avenir assuré au sein de l'équipe première, mais pour 2023. Plus tôt en septembre, du 3 au 5, Marijn van den Berg se classait troisième d'À Travers les Hauts-de-France, puis finissait huitième de la course en ligne des Championnats d'Europe espoirs.
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Le dimanche 3 octobre, plus de 900 jours après sa dernière édition, en raison d'annulations successives liées à la crise de la Covid-19, Paris-Roubaix faisait sa réapparition au calendrier. Un retour par la grande porte : l'Enfer du Nord a réservé aux coureurs ses pires conditions climatiques, leur offrant des secteurs pavés quasiment inondés, alors que la classique n'avait plus connu de météo pluvieuse depuis près de vingt ans. Dans ces circonstances, l'abnégation, mais aussi la chance, ont été des paramètres cruciaux, qu'a su réunir un néophyte, Clément Davy. Arrivée à la 35e place, juste derrière Arnaud Démare, le Mayennais a longtemps fait partie d'un groupe se jouant le top 10, au gré des multiples incidents de course qui ont jalonné les 258 kilomètres entre Compiègne et Roubaix. Il a rallié le vélodrome pour sa première participation à la Reine des Classiques, mais surtout pris rendez-vous avec l'avenir sur cette compétition. Contacté 48 heures après ce Paris-Roubaix terminé maculé de boue, Clément Davy, remis de ses émotions, raconte.
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Voilà, j’ai fini mon premier Paris-Roubaix. Recouvert de boue. Des images qui vont rester… J’ai couru deux fois cette classique dans sa version espoirs. La première fois, j’ai multiplié les galères, j’ai fini loin. Je me suis dit tout de suite : l’an prochain, je reviens. J’ai fini treizième la deuxième fois, et là je n’avais plus qu’un but : faire le Paris-Roubaix des grands. Maintenant que j’y suis parvenu, je n’ai qu’une envie, c’est de revenir. J'ai trouvé la course pour laquelle je vais m'entraîner chaque jour.
C’est ainsi que je me suis retrouvé avec un dossard sur cette édition 2021, rendue historique par cette pluie qu’il n’y a plus eu sur cette épreuve depuis de très nombreuses années. Tout a commencé pour moi avec une crevaison seulement quinze minutes après le départ, mais c’est le jeu, ça fait partie de la course. Plus tard, Stefan Küng chute et j’ai eu un gros moment de doute. Je l’ai attendu - c’était un risque à prendre et ça l’a fait, car nous avons pu revenir à l’avant. Il y a eu un secteur sur lequel j’ai évité de peu une chute. J’ai freiné, freiné, j’étais à l’allure d’un homme au pas, j’ai heurté un concurrent qui était tombé, mais j’ai pu rester sur ma selle et continuer. J’ai crié : Yes ! Yes ! J’ai vu ça comme un signe. Je me suis dit que ça me souriait…
On sait que sur Paris-Roubaix, les risques sont plus importants. On pense forcément aux chutes, mais même si on vient à tomber, ce n’est jamais fini. Tant que l'on a rien de cassé, que le vélo est intact, on peut repartir. On m'a demandé après la course si ça avait été raisonnable de courir dans ces conditions. Oui, sur l'Enfer du Nord… tout est raisonnable. Dans l'avant-dernière heure de course, je me suis ainsi retrouvé dans un groupe avec plusieurs favoris, en compagnie d’Arnaud Démare. Avoir pu être avec les meilleurs, c’est énorme. Dans un secteur, je me suis retrouvé derrière Philippe Gilbert, et j’allais plus vite que lui. Je me suis dit : tu ne vas pas doubler Philippe Gilbert, quand même ? Il y a eu une attaque de Mathieu van der Poel, je l’ai suivi, j’ai pu garder sa roue. Ma réaction a été de me dire : je… suis capable de faire ça ? Au final, la distance a pesé dans mes jambes et la dernière heure a été plus difficile. J’ai eu mal partout jusqu’au vélodrome, mais je me disais qu’il fallait que j’en profite, car je n’allais pas revoir ces pavés avant l’année prochaine. Je finis 35e, ce qui peut sembler anecdotique, mais c’est une base de travail.
J’ai vu un tweet de Romain Bardet qui disait que le peloton allait être scindé en deux désormais : ceux qui ont fait ce Roubaix et les autres. Il a raison. J’ai vécu des choses impensables, comme ne pas pouvoir rouler sur la partie bombée du pavé tant elle était glissante et devoir me rabattre sur le côté, dans des immenses flaques, sans savoir où je mettais ma roue. Un des secteurs commençait par le passage d’une voie ferrée, c’était complètement inondé tel un passage de gué… J’ai vu les autres passer sans encombre, je me suis dit : allez, vas-y, fonce dans la flotte. C’était presque l’éclate, alors que j’avais le pédalier et les chaussures sous l’eau. Peut-être que je ne revivrai jamais un Paris-Roubaix pluvieux, mais au moins c’est une case de cochée. J’espère pouvoir revivre ces sensations car c’était grandiose. La priorité reste cependant désormais de progresser pour améliorer mon classement année après année.
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Déjà engagé aux côtés de nos champions d’une part et de tous les pratiquants amateurs d’autre part, Groupama souhaite également accompagner tous ceux qui utilisent leur vélo dans leur vie quotidienne : que ce soit pour se rendre au travail, pour faire leurs courses, pour amener leurs enfants à l’école, ou tout simplement pour se déplacer.
Pour que prendre son vélo chaque jour reste toujours un plaisir, Groupama s’engage en lançant une nouvelle opération dédiée à ces cyclistes du quotidien : « Histoires de vélo ». Groupama va déployer, à partir du 15 octobre, 4 actions concrètes répondant aux enjeux de cette pratique régulière du vélo qui se renforce partout en France.
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Inciter les utilisateurs à se former aux bons réflexes de conduite à vélo
Du 15 octobre au 5 novembre, Groupama accorde une réduction de 40% sur l’inscription aux formations « En piste cyclable ! » dispensées par l’Équipe cycliste Groupama-FDJ, dans 9 villes en France, entre novembre 2021 et mars 2022.
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Assurer les cyclistes du quotidien lors de leurs déplacements à vélo
Si protéger son vélo est important, il faut aussi se couvrir en tant qu’utilisateur. Jusqu’au 14 novembre, Groupama offre 50€ pour toute nouvelle souscription à une Garantie Accidents de la Vie, une assurance en cas d’accidents du quotidien comme une chute à vélo par exemple.
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Soutenir ceux qui s’impliquent dans la lutte contre le vol des vélos
Nouveau partenaire de l’APIC (Association de Promotion et d’Identification des Cycles et de la mobilité active), Groupama va aider à diffuser des messages de sensibilisation auprès des usagers pour rappeler l’importance de faire marquer son vélo afin de pouvoir l’identifier.
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Offrir des kits lumières aux cyclistes insuffisamment visibles
La visibilité des cyclistes est un enjeu majeur pour leur sécurité. Alors que la nuit tombe de plus en plus tôt, tout au long de l’automne ce sont plus de 10 000 kits d’éclairage, à accrocher à l’avant et à l’arrière des vélos, que Groupama aura distribué gratuitement.
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Cinquième et dernier monument de la saison cycliste, le Tour de Lombardie, mélange le charme de l'automne et l'identité forte d'une course centenaire, gagnée par les plus grands champions. Parmi eux, Thibaut Pinot, lauréat en 2018, cochant ce jour-là un objectif de carrière, lui le passionné de cyclisme italien, qui avait pour rêve de triompher un jour sur la "Classique des feuilles mortes". Depuis ce jour, l'Équipe cycliste Groupama-FDJ se présente chaque année au départ de l'épreuve transalpine avec de grandes ambitions, car elle sait l'exploit possible. Cette année, le 9 octobre, Thibaut Pinot est de la partie et va former un duo excitant avec David Gaudu, ce dernier étant déjà monté sur le podium d'un monument en avril dernier, sur Liège-Bastogne-Liège. Cette 115e édition partira de Côme et arrivera à Bergame, soit le trajet inverse d'il y a trois ans.
Le souvenir marquant du sacre de 2018, qui de mieux placé que Jérémy Roy pour le raconter ? Le Tourangeau avait apporté un point final à sa carrière riche de seize saisons professionnelles sur ce Tour de Lombardie, vivant le triomphe de son leader en guise de dernière émotion de coureur.
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Jérémy ROY
Responsable des partenariats matériels et techniques de l'Équipe cycliste Groupama-FDJ
Coureur de l'équipe de 2003 à 2018
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Jérémy, tu ne devais initialement pas courir ce Tour de Lombardie 2018. Peux-tu nous raconter comment tu t'es retrouvé en Italie ?
Les programmes avaient été conçus de sorte à ce que je termine ma carrière avec l'équipe au Tour de Vendée, avant de participer à titre individuel au Chrono des Herbiers. J'ai finalement vu mon calendrier évoluer en raison de différents forfaits suite à des chutes, ce qui m'a amené à prendre le départ de Paris-Tours, chez moi, mais aussi de courir les Trois vallées varésines en Italie. Après cette course, je ne suis pas resté avec le groupe qui préparait le Tour de Lombardie, mais Anthony Roux s'est malheureusement fracturé l'omoplate et j'ai alors appris que j'allais être de la partie pour le dernier Monument de la saison. Thibaut Pinot m'a envoyé un message en me disant : il faut que tu viennes ! J'ai été cachotier et je ne lui ai pas dit que j'allais venir. Je m'étais accidenté sur Paris-Tours, je lui ai envoyé la photo de mes points de suture à un doigt, pour lui faire croire que je n'étais pas en état de recourir. Le soir-même, j'étais en Lombardie. Je frappe à la porte de la chambre dans laquelle les coureurs s'étaient réunis. J'étais là, en chair et en os, au grand étonnement de Thibaut.
Le but, c'était de gagner ?
Sur Milan-Turin, l'équipe avait assumé le poids de la course et Thibaut avait gagné. De ce fait, nous n'abordions pas le Tour de Lombardie pour faire de la figuration : l'idée était de reproduire le même schéma. Les ambitions étaient claires. Mon rôle était de rouler pour contrôler la course jusqu'à la Madonna del Ghisallo après 180-190 kilomètres. J'ai pu accomplir cette mission et j'étais déjà fier de cela. Mon travail terminé, j'ai abandonné et j'ai pris la direction de Côme, pour rejoindre le bus, dans lequel j'ai pu suivre la fin de course avec William Bonnet et Matthieu Ladagnous. Quand nous avons compris que Thibaut allait gagner, nous nous sommes dit : il faut que l'on aille sur le parcours... Un peu au bluff, car nous n'étions pas censés pouvoir accéder à la route. Nous avons pu, je ne sais pas trop comment, passer par la dérivation et être sur la chaussée sans que l'on nous chasse de là. Thibaut est arrivé quelques instants plus tard, nous a vu, a pu nous taper dans la main quelques instants avant de franchir la ligne en vainqueur. Il nous avouera après coup qu'il espérait que nous soyons là, à cet endroit précis. Avoir pu communier dans ce moment fort était quelque chose d'incroyable.
Pouvais-tu rêver d'une meilleure fin de carrière ?
Clairement pas. Il était prévu que je ne participe ni à Paris-Tours, sur mes routes d'entraînement, ni au Tour de Lombardie. J'ai finalement pu faire les deux. Pouvoir vivre les émotions de ce Tour de Lombardie victorieux, je me souviens de ça comme d'un privilège, d'une fin magique où tout s'était goupillé parfaitement. Sur le moment, j'avais presque des regrets d'arrêter, car l'envie de pouvoir revivre de tels instants prenait le dessus.
Cette journée d'octobre 2018 a-t-elle créé un lien spécial entre le Tour de Lombardie et l'équipe ?
Je me souviens de certaines éditions où nous subissions sur le Tour de Lombardie. La course est très dure, se déroule en fin de saison, et nous n'avions pas forcément un leader pour y signer un résultat. Thibaut rêvait de gagner cette grande classique et sa motivation a fait entrer l'équipe dans une dynamique particulière, entamée bien avant l'édition magique de 2018. Ce lien spécial existe donc depuis plus longtemps que cela, et perdure maintenant : chaque année, nous y allons avec ambition, et aussi moins d'appréhension car nous savons que nous avons déjà pu, une fois, nous imposer.
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C'est une pièce de musée que nous vous permettons de tenter de gagner ce mois-ci : la visière de casque avec laquelle Stefan Küng a remporté le titre de champion d'Europe de contre-la-montre à Trento, dédicacée par le champion suisse. Pour tenter votre chance, trouvez les bonnes réponses aux six questions suivantes :
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Saison 2021 : dernière ligne droite ! Il ne reste plus que deux semaines de compétition mais les courses qui demeurent au programme sont alléchantes. Le 9 octobre, le Tour de Lombardie sera l'ultime Monument de l'année et sera l'objet de grandes convoitises pour l'Équipe cycliste Groupama-FDJ. Mais les ambitions seront également élevées sur les quatre dernières épreuves françaises du calendrier : le Tour de Vendée, Paris-Tours, le GP du Morbihan et les Boucles de l'Aulne. Le Championnat de Grande-Bretagne sur route sera lui aussi au menu avec des espoirs de titre national pour Jake Stewart, l'une des grandes révélations de la saison.
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